1,389 research outputs found

    From a global science conference towards UNFCCC negotiations: mobilizing science for transitions. [K-2225-01]

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    This presentation aims at presenting the main out comes from the 3rd Global Science Conference on Climate Smart Agriculture (CSA) in Montpellier, France, 16-18 March 2015 where more than 600 researchers and 150 stakeholders and policy makers from 75 countries and 5 continents convened. CSA is a framework that mobilizes synergies and can lead to innovative and comprehensive solutions at local, regional and global levels. Delegates also confirmed that CSA solutions exist and can be brought into reality provided favorable conditions. Agriculture was acknowledged as a sector particularly vulnerable to climate change, which impacts the livelihoods of the world's poorest people. This places increased strain on global food systems, especially since expectations for meeting demand for food will change tremendously within the next 40 years. Agriculture has also a central role in strongly reducing greenhouse gas emissions and lies therefore at the heart of complex challenges to be addressed. CSA invites researchers, practitioners and policy makers to explore solutions combining three pillars, food security, climate change adaptation and mitigation, underpinning sustainable landscapes and food systems. This is essential since the sector is facing unprecedented uncertainty and risks: synergies have to be looked at and trade-offs addressed. Recognizing that agriculture is a pivotal sector for international negotiations on sustainable development and climate change, CSA therefore provides a framework for looking at necessary transitions. The main recommendations were as follows: (i) agriculture in the future must also address the challenges of sustainable food systems and landscapes; (ii): based upon a renewed research agenda that addresses a more complex set of objectives, researchers and practitioners must engage to build evidence and design the trajectories for multiple transformative transitions of climate-smart agriculture; (iii) the future relies upon policy, institutional and financing decisions and particularly upon the involvement of policy makers, development agencies, civil society and the private sector with researchers and research institutions in innovation platforms. The strengthening of CSA scientific community must be pursued and better engaged in interfacing with policy makers, promoting scientific diplomacy. Their capacity to develop relevant global research programs and joint initiatives to address as from now questions that will be key in the future should be supported and stimulated through international cooperation platforms. (Texte intégral

    Quels agronomes pour quels territoires ? Interstices d'une ambition intégratrice ou perspective d'un projet unifié ?

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    Avant d'identifier différents modes d'implication des agronomes existants ou à promouvoir pour traiter et agir sur les territoires, l'auteur précise ce qu'il entend par territoire. Il rappelle certaines étapes du long et lent chemin qui a conduit les agronomes à s'intéresser à lui, en soulignant l'importance des réflexions critiques conduites au sein de la discipline pour mieux s'adapter aux contextes en mutation et aux questions soumises par la société et l'apport des fécondations entreprises avec d'autres disciplines. Quatre modes d'implication des agronomes sont ensuite proposés: (i) l'agronome régional ou écosystémique, étudiant ou agissant sur les termes des relations eau-sol-peuplements végétaux soumis à l'action de l'homme au niveau d'une région donnée; (ii) l'agronome territorial du fait technique, s'intéressant au pilotage et à la gestion des agrosystèmes et à la constitution d'objets techniques à l'échelle territoriale, à savoir des dispositifs d'action élaborés socialement, mobilisés et pilotés par des organisations collectives; (iii) l'agronome territorial centrant ses activités sur la contribution du fait technique, qu'il considère processeur de changement, à la production de territoires, érigée au rang de catégorie d'analyse, (iv) l'agronome intégrateur, élaborant des cadres d'analyse régionale, identifiant des niveaux d'organisation ayant du sens, formulent et traitent des questions scientifiques et hiérarchisant les moyens d'action faisant le lien entre processus biophysiques, procédures techniques et dynamiques sociales. Le débat sur la prise en compte du territoire illustre le mouvement à encourager au sein de la discipline pour dépasser le sentiment de crise lié à la recomposition des identités: assumer la diversité et la pluralité des pensées, des corpus de connaissances et de méthodes, des métiers et des pratiques dans le cadre d'un projet unifié, et renouer ainsi avec le dessein brouillé d'une science d'intégration et de synthèse. (Résumé d'auteur

    Le zonage régional à dires d'acteurs. Connaître, représenter, planifier et agir, une méthodologie expérimentée dans le Nordeste du Brésil

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    Les méthodes d'analyse et de planification participatives ont été largement diffusés au cours des dernières années. Cependant, leur usage reste souvent limité à l'échelle locale. L'application à une échelle plus vaste des principes de participation et d'approche systémique n'est pas aisée dans les pays en développement. Une méthodologie de zonage est proposée, comme instrument de dialogue, d'analyse de la réalité agraire et de sa complexité et d'organisation des connaissances. La démarche se veut opérationnelle. Il s'agit de construire un système d'aide à la décision pour la planification du développement rural pour des espaces de plusieurs milliers de km2. La production d'informations et leur diffusion auprès de tous les acteurs du monde rural est recherchée. La méthodologie s'appuie sur les dires d'acteurs (producteurs, techniciens, commerçants, élus locaux, etc.). Ceux-ci ont déjà inconsciemment réalisé l'essentiel du travail d'analyse des situations complexes. Le travail intègre les données et les informations secondaires, recensements et documents bibliographiques et cartographiques. Après une présentation de la méthodologie, les résultats de son application dans le municipe de Juazeiro au Brésil sont discutés. L'intérêt et les limites de la proposition et de l'utilisation des résultats, ainsi que les domaines et limites d'application sont analysé

    Synthèse des contributions

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    Why and how the concept of 'territory' can help in thinking rural development

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    Connaître, représenter, planifier et agir : le zonage à dires d'acteurs, méthodologie expérimentée dans le Nordeste du Brésil

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    Les méthodes d'analyse et de planification participatives ont largement diffusé au cours des dernières années. Leur usage reste souvent limitée à l'échelle locale. L'application à une échelle plus vaste des principes de participation et d'approche systémique n'est toutefois pas aisée dans les pays en développement. Une méthodologie de zonage est proposée, comme instrument de dialogue, d'analyse de la réalité agraire et de sa complexité, et d'organisation des connaissances. La démarche se veut opérationnelle. Il s'agit de construire un système d'aide à la décision pour la planification du développement rural pour des espaces de plusieurs milliers de km2. La production d'informations et leur diffusion auprès des acteurs du monde rural est recherchée. La méthodologie s'appuie sur les dires d'acteurs (producteurs, techniciens, commerçants, élus locaux, etc.). Ceux-ci ont déjà inconsciemment réalisé l'essentiel du travail d'analyse des situations complexes. Le travail intègre les données et les informations secondaires, recensements et documents bibliographiques et cartographiques. Après une présentation de la méthodologie, les résultats de son application dans le municipe de Juazeiro au Brésil sont discutés. L'intérêt et les limites de la proposition et de l'utilisation des résultats, ainsi que les domaines et limites d'application, sont analysés

    Participation à l'atelier régional du SACCAR "Elaboration d'une méthodologie pour identifier les priorités nationales en matière de recherche agricole dans les pays de la SADC", Maputo, Mozambique, 20-21 novembre 2000. Rapport de mission

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    Le SACCAR a organisé les 20 et 21 novembre 2000 à Maputo (Mozambique) un atelier régional "Elaboration d'une méthodologie pour identifier les priorités nationales en matière de recherche agricole dans les pays de la SADC", dans l'objectif de renforcer les démarches de programmation de la recherche dans chaque pays et de faciliter, sur la base de leurs résultats, l'élaboration d'un programme régional de travail. L'atelier a regroupé 25 participants (membres du Conseil d'Administration, représentants d'organisations paysannes, d'ONG, d'institutions para-publiques et d'organisations internationales). L'effort entrepris dans les différents pays pour identifier les priorités de recherche légitime une démarche construite à partir de l 'échelle nationale, tout en la rendant pertinente. Sur la base d'arguments formalisés, un engagement a été pris pour l'élaboration d'un programme régional prioritaire à partir des priorités nationales. Cependant, la spécificité de chacune des échelles, régionale et nationale, est affirmée. Elle concerne les principes, les modalités, les critères et les acteurs à impliquer dans l'exercice de programmation. Elle se traduit par la proposition de démarches nationales " individuelles et compatibles ". Il a été décidé de mettre en oeuvre une démarche et d'utiliser un cadre communs, que chaque pays pourra adapter à sa situation. La démarche comprend un certain nombre de principes méthodologiques, un cadre d'organisation des thèmes prioritaires et un ensemble de critères de sélection des priorités, qui sont présentés dans le rapport. Il a été proposé, très pragmatiquement, de mettre en oeuvre deux programmes d'action, le premier pour identifier, à court terme, les priorités régionales sur la base de l'existant à l'échelle des pays, le second pour mettre en place à moyen terme un dispositif d'identification et d'actualisation des priorités nationales et régionales. Ce dernier comprend en particulier la mise en oeuvre par le SACCAR d'actions d'appui aux SNRA. P. Caron a ensuite participé à la réunion du Conseil d'Administration du SACCAR avec ses partenaires internationaux, au cours de laquelle un bilan de l'appui de la coopération française a été dressé. (Résumé d'auteur

    Table ronde : Les perspectives des agricultures africaines

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